Nouvelle recherche

N° 2812

Titre de l'essai :
Étude de phase III, ouverte et randomisée visant à évaluer l’efficacité et la sécurité du camizestrant (AZD9833, un dégradeur oral sélectif des récepteurs aux oestrogènes de nouvelle génération) par rapport au traitement endocrinien standard (inhibiteur de l’aromatase ou tamoxifène) en tant que traitement adjuvant pour les patients atteints d’un cancer du sein précoce ER+/HER2- et présentant un risque de récidive intermédiaire-élevé ou élevé, ayant terminé leur traitement locorégional définitif et ne présentant aucun signe de maladie (CAMBRIA-2)

Description :
Il s’agit d’une étude qui concerne des patients porteurs de cancers du sein localisés RH+/HER2- qui sont jugés à risque intermédiaire ou élevés de récidive et pour lesquels la chirurgie et les traitements de chimiothérapie et radiothérapie ont été réalisés. Cette étude compare une nouvelle hormonothérapie (Camizestrant qui appartient à une nouvelle classe d’hormonothérapie, les SERD) à l’hormonothérapie de référence (Anti-Aromatases ou Tamoxifene, utilisées selon le statut ménopausique). Un tirage au sort décidera du choix de l’hormonothérapie choisie. La durée du traitement sera de 7 ans. Selon les cas, il pourra être associé un inhibiteur du cycle cellulaire (Abemaciclib) sera associé. Le bénéfice théorique de cette nouvelle famille d’hormonothérapie (les SERD) est d’entrainer moins de résistance et donc moins de récidive de la maladie. Les profils de tolérance sont équivalents entre les SERD et les Ani-Aromatases.

Médecin investigateur :
FREDERIC VIRET (DR)

Pathologies concernées :

Technologie utilisée :
THERAPEUTIQUE CIBLEE

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